Rentrer dans un car tout chaud, se sentir bien musique sur les oreilles, trois personnes éparpillés sur les sièges jaunes moutarde du véhicule. Feu rouge. Regarder par la fenêtre et s'appercevoir qu'un monsieur dans son camion est à la même hauteur que moi. Lui lancer un sourire, en avoir un autre en retour. C'est tellement beau un vieu bonhomme qui étire ses deux joues comme un rideau pour qu'on apperçoive ses quelques dents. Du mimosa qui valse avec le vent. Hier soir assise sur un siège rouge en train de contempler le film qui passait sur l'écran SPLENDIDE "odette tout le monde". Eclats de rire d'une vieille femme dans la salle le rire c'est contagieux, petits bonheurs... Rentrer des rêves pleins la tête. S'appercevoir que mon papou ne défait pas ses lacets pour enlever ses chaussures, alors que nous petits on est obligé de les enlever pardi ! Bonne nuit de sommeil avec des rêves assez bisard... S'installer devant mon émission favorite et dévorer des yeux les images. Se rendre conte que j'ai 3 équerres dans ma chambre et que ma soeur en a aussi trois : marchandes d'équerres.

Un pull bleu gris, plutôt malheureux a été enfilé par une jeune fille ce matin. Des fois des rides apparaissent et souvent il doit bouger pour elle. Des chaussures aux pieds qui sont pailletées en noir depuis leur naissance elles n'ont rien demandé et c'est moche en plus. A côté, un champs de blé tombant sur un crâne, sont étouffés par une matière gluante appelée plus communément : gel. Des gants en cuirs l'attendent dans un nid fait dans la capuche de son manteau sortit de nul part et très moche. Des carottes rapées brillant à la lumière des néons qui font mal aux yeux. Elles virevoltent au rythme de ses balancement de tête. Une table devant moi avec un esprit, puis un corps qui s'endort. Titutitititoutyututi le bruit des touches sur un clavier de portable. Un pantalon de cowboy complètement décalé ainsi que la fille qui le porte, regard béa tourné vers le tableau. Une colle violette à côté vous en avez tous eu de cette colle magique. Un gars qui se la pète avec son briquet.... Ma classe. Dur dur dur turelure.

Un tram, et des enfants qui courent partout, des vrai petites fourmis. Trois petites filles à côtées " Eh tu me crois que j'ai une piece de 1€ ? hein dis ? " La gare, un gros batiment gris à ses côté avec trois ou quatre étages " Madame c'est quoi ça.? - Un centre commercial " Pffff n'importe quoi s'était le parking de la gare quand je pense que la plus part des adultes se débarassent de nos foutu questions en répondant à côté, sans prendre le temps de réfléchir.

Lendemain la belle vie, même très belle. Ooo mince j'ai loupé mon car. Bah mince alors je ne vais pas pouvoir aller barboter dans la piscine, ça c'est bête. Oh bah lutine aussi quelle coïncidence.. Rues de nantes désertes, marchant la tête en l'air, sourires avec, deux croissants, petits plaisirs bien appréciables.. 9h15  elle de sa petite voix dit : "bah en fait madame j'ai été dormir chez elle et on a loupé le car donc on s'est quand même rendu à la piscine mais la dame de l'accueil n'a pas voulu nous laisser entrer donc on est venu la." 9 personnes reviennent la tête mouillée : on a 5 semaines de plus de piscine. AAAAAAAAAAAAAHHHHHH nan c'est pas possible pas 5 semaines !!!!!! Au secours, mais ce n'est pas pour autant que ça va gacher ma journée. Notre mot de retard sur le bureau de la prof de français sourire aux lèvres : " vous aviez piscine avant, c'est ça? " Journée qui passe très vite puis elle s'amuse à me faire peur tu vas voir mes amis. Peur de la décevoir surtout qu'elle les aime tellement. -3, -2, -1 arret, tout le monde descend. Assis par terre, ils fument. Super chaleureux, ils m'acceuillent bras ouvert, tout de suite à l'aise.. Une ferme des bruit de chat, de poule, de chêvre... VOUS ALLEZ PASSER VOTRE BAC, BAC !  B A C !!! pop, pop pop popop pop allez encore 10.. arret!!! Dur de partir, même si je ne les connais pas. Soiré sympatique passé mon temps à la faire chier. Le rideau tombe une premiere fois c'est sa faute elle devait aller aux toilettes.. Je le remet il tombe sur sa tête. Dodo. 10 minutes. Petits beurre, nouvelle journée.

Voilà l'article. J'ai l'impression de passer à côté de pleins de rêves quand je n'écris pas. Faut que je m'y remette pour de vrai... de vrai de vrai.

J'appréhendai leurs venues. Mon petit cocon, mon petit chez moi, bien à moi, va maintenant être découvert. Mais comment ça va se passer ? elles vont peut être s'ennuyer ? ou peut être même qu'elles viennent à contre coeur ? Grosse paranoïa... Puis des visages transportés sur quatre roues, qui se perdent en chemin... Mais une fois arrivées au 18, leur magie opère : des Abracadabras magnifiques et une boîte de chocolats apparaissent. Le hérisson dans mon coeur avait disparu, maintenant remplacé par des plumes. Un peu de farine volante, une louche de sourires, des oeufs (avec quelques coquilles), du sucre, une pincée d'enfance, du chocolat coulant, mélanger le tout avec amour et la pate d'un semblant de gâteau surgira, non pas dans le moule mais sur vos visages. Essayer d'immortaliser avec un flash ces moments mais impossible avec elle, pas grave, toutes ces images engloutient dans ma tête. Cette fois c'était raclette, lundi ça sera croques monsieur. Des volcans jaunes encore fumant, une demoiselle qui s'improvise éplucheuse pour yéti, la lave qui s'empresse de dévaler les flancs des patates, des cochons sauvages se font engloutirent. Un morceau de volcan, mélé à de la lave, à des cochons sauvages, tout ça transportés dans les airs plop dans la blouche. Histoire de changer de température, un petit détour pieds nus sur le goudron plutôt froid. Courir, se tenir les mains et tourner de plus en plus vite, tellement d'étoiles fillantes qui apparaisent tout d'un coup, la tête qui tourne. Se sentir enfin libre ! Musique en marche, les polochons aussi pif paf pouf aaaaa yéti est morte. Houra ! Un dvd sur play et des interrogations sur les couleurs que Pan n'a toujours pas compris... Rouipillons assez court, les visages tout jaunes c'était le soleil qui s'infiltrait par mon volet que yéti ne sais pas fermer. Le soleil joue à cache cache avec les nuages, il est plutot fort. Elles s'en vont.

Des soleils qui se couchent tellement vite, que je n'ai pas eu le temps d'écrire.
Il s'est passé pleins de belles choses, des rêves pleins la têtes tous aussi colorés les uns que les autres... Une petite cuillère sur le bout du nez, deux DVD splendides, reussir à marcher sur l'eau et à voler comme Marie Poppin's c'est magnifique! Avec lutine on a même vu un vieux monsieur extraordinaire venu de nul part, il a des fleurs qui lui poussent sous ses peids, une grande blouse blanche toute pleine d'inscriptions, il mange des carottes :"je suis un lapin", sourire figée pour une grande partie de la journée...
Puis on a été séparée, trop dur, notre complicité envolé, rires, dessins, histoires avec... Nostalgie.
Je lui ai fait une fleur en papier très colorée. Maintenant en cours mon sourire se cache, j'ai vraiment une classe de... Hier on est rentré en communication avec clochette, la vrai.
Bonheur, bonheur, bonheur.. y a qu'à ce moment que j'ai le droit d'être vraiment à côté d'elle. Y a mamzelle Pan aussi, toujours aussi extraordinaire, magique, souriante.. Elle cultive des perles colorées dans son étincellante chevelure. Yeti toujours avec ses calins et bisous qui volent à tout va, elle a des mimiques de gosse tellement attendrissante...

Tu voudrais pas repousser ta journée avec elle, samedi prochain ? parce qu'il pleut... Pour rien au monde j'aurais voulu rester chez moi, justement il pleut c'est ça qu'est bien!

Comme je l'ai dis à Pan il faut toujours voir le bon côté des choses regardez ceux qui ne cherche pas le truc qui fait que la pluie est à la fois magique et tellement magnifique vont te dire qu'elle est toute triste parce que les nuages pleurent, que tu es toute mouillée jusqu'aux os, que tu vas attraper un gros rhume, que les gens sont vraiment pas aimables... Mais justement cours, sautes dans les flaques d'eau, prends du plaisir à sentir les gouttes dégoulinées sur ton beau visage, rigole si fort que les gens t'entendent et sourient à leur tour, chantes tout en dansant ça amuse les passants, dis bonjour à ceux qui se cramponnent et se cachent sous leur parapluie et à chaque flaque d'eau que tu croises, libère là et déverses son eau sur les pavés et tes vêtements, tes chaussures font FLOP FLOP FLOP elles ont tellement plus de charme maintenant...

8 minutes. Puis un tram, qui, vous n'allez pas me croire n'avait pas sa petite voix, celle qui vous indique où l'on est quand lui s'arrête. Un beau vieillard était avec son petit charriot à roulettes mais un détail ma travaillé tout le long du trajet celui des 6 roulettes. Pourquoi à t'il besoins d'elles 6 pour rouler ? Hein vous pouvez me le dire vous ? 11h40 devant la fnac. J'attends. Rien à faire... Mais si ! Pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt ! Je suis donc rentrée au CHAUD, me suis dirigée rayon jeunesse, ais plongée mes yeux dans un très beau livre qui parlait de princesses avec tout pleins de beaux dessins... les aiguilles ont avancées à toutes vitesses !

Je cours, l'escalator vite, je sors, je l'apperçois... Je cours (encore) et lui saute dans les bras !! On part se promener, chanter, courir, danser... petits magasins, un photomaton et nos rires s'envolent sans s'appercevoir qu'une petite oreille s'était aventurée de l'autre côté du rideau... Une dame nous souris, elle nous avait entendu.. "Quelle joie d'entendre des rires de ce temps là, c'est si agréable" et le petit monsieur d'à côté approuve... bien sûr ! Nos petites bedaines crient au secours, il est l'heure d'aller manger les fameuse PÂTES ! Nous sautons dans les flaques d'eau, plop, puis nous arrivons essoufflées devant le marchand de nouilles... " fermeture annuelle du 23 décembre au 3 janvier inclus ! " 

Où manger ? Elle ne veut pas de Mc do, moi pas de kebab, mais on veut manger bien au chaud, finalement un bon panini s'est imposé et un savoureux chocolat chaud s'est glissé dans ma bouche..

Elle me les avait promis... Emballées dans un jolie papier cadeau, mes lucioles on été vite extirpées de leur bocal pour atterir dans ma bouche ! Miam ! Embarquement immediat pour atterir chez elle. Nos papattes déposent d'infimes flaques d'eau sur son carrelage. Une serviette, en prime le chien derrière, et c'est parti pour le ménage en gesticulant comme un asticot ! Puis roulé au nutella.. DING DONG aïe mon popa, il m'enlève et me porte en sac à patate, pour ne pas mouiller mes petites papattes que j'avais préalablement rahabillé chaudement. Mes petites mains on fait trois petits tours et je m'en suis allée. Merci pour cet sublime aprés-midi passée en ta compagnie.

[ je m'excuse pour le retard mais heureusement une petite lutine à volé à mon secour. Le 31 janvier 2007 n'existe pas encore.. enfin je pense... ]

5° Deux pulls, c'est partit pour plus d'une heure en quatre roues. Je croise le camion poubelle qui sort son grand bras articulé, tout mécanisé, ce n'est plus deux petits bonhommes qui ramassent les poubelles mais lui. Des mouettes attendent sagement sur le ponton, quoi ? je ne sais pas. Tiens le restaurant chic puis le tabac avec le gros monsieur peu aimable, la maison de retraite avec ces vieilles personnes si adorables qui n'ont presque plus de goût à la vie, c'est triste... Ma petite école tant de souvenirs, j'entends encore les rires, à ma droite une maison qui avait pris feu puis la vieille station service, qui à mon avis, ne sert strictement à rien ! Des maisons encore des maisons toutes autant tristes les unes que les autres.. Des décorations de noël, mais c'est fini... De plus en plus de champs, un village avec cette vieille église qui me fait si peur ne me demandez pas pourquoi je ne sais pas c'est comme ça... Deux corbeaux sur la route, TUUUT ils s'en vont. Un virage, il freine, elle s'accroche, comme à son habitude, depuis... Un beau jeune homme sur le bord de la route, contraste avec cette campagne, huit moutons paisiblement allongés dans l'herbe plus qu'humide, mais ils s'en fiche parce qu'ils ont une grosse moumoute anti eau et anti froid ! Deux poubelles attendent sagement qu'il vienne... 109 km/h un octogone rouge, de la même couleur que les grosses boules qui se trouvent sur les fils éléctriques au dessus de ma tête. Mais a quoi servent elles ? A faire jolie ? Éloignés les oiseaux pour pas qu'ils finissent comme la tartine qui sort du grille pain.. ? Elle veut du guy je lui dis qu'on ne peut pas en avoir parce qu'il se met tout en haut pour pas qu'on l'attrape. A ma droite un vieillard dans une petite carriol bleu, est dirigé par deux poneys, mon sourire s'étire. J'aperçois un gros tube de dentifrice blanc et bleu (mon papa dit que c'est deux cylindres qui contiennent des produits dangereux) je le crois pas c'est du dentifrice c'est tout ! 116 km/h Les nuages forment un plafond qui empêche mes idées de s'envoler. En face les yeux jaunes annoncent de la pluie... Vrai, les nuages pleurent mais ce n'est pas un gros chagrin. Un car emplit de voyageurs fait son apparition, comme celui que je DEVAIS prendre avec eux... Une descente, des virages comme dit l'autre quelle marade. Ma soeur à écrit son prénom dans sa main.. c'est vrai si jamais elle l'oublie ! Il pleut il pleut bergère. Un village : st jacut la plage : pissotte elle et moi, comme deux petites filles on rigole à en pleurer, fatiguée. Promenade, un petit bonhomme tombe à mes pieds, il porte des moufles, vous savez celles qui sont accrochées par un bout de laine et qui passe derrière votre dos, vous en avez tous eus?? Je n'ai toujours pas abordé le sujet du trois janvier... Le soleil change trés vite de couleur il s'en va c'est magique ce moment, sa couleur m'apaise si bien que je m'endore... Ils se sont trompés de chemin une heure de plus!!! Enfin, on est arrivé ! Demain nouilles, j'ai hâte non pas pour les nouilles mais de la voir...

10h39 réveillée par un maudit volet beige.. Chocolat chaud, il n'a pas le gout de celui qu'on à l'habitude de renverser par terre... J'ai été épargner, pas d'essuyage de table pour moi ce matin. Douche brûlante, vapeur gesticulant dans toute la pièce et se collant sur vitre et miroirs. Mon reflet plutôt flou se dessine, une barbe en mousse suspendue à mon menton, et mes cheveux patouillent sur ma tête, une image apparaît soudain devant mes yeux, celle de nous deux avec la même barbichette, pour ce concours... Souvenirs... Je sors. Mes petits doigts écrivent sur la fenêtre toute pleine de buée :  La fée clochette... Ils me manquent EUX aussi. J'enfile mon beau pull qui à piqué ses couleurs dans l'arc-en-ciel, un jean simple ça ira très bien. Tiens en parlant de mon pull, cette nuit j'ai rêvé que j'allais avec ma cousine à shopi shopi  et elle le peinturlurait avec de la bombe rouge je lui en voulais, et à cause d'elle quand je me suis réveillée j'étais de mauvaise humeur, mais elle s'est vite enfuit quand je me suis aperçue que ce n'était qu'un rêve. Hop aux fourneaux, msn en attendant la fin de cuisson. Fini. Très bon. Traits noirs sous, sur, autour des yeux.  Vol de brosse, coup d'oeil à ma montre, pas le temps, mes cheveux crient hourra ! Tu ne rentres pas trop tard ... Le vent joue avec mes cheveux, mais aussi avec mes nerfs. Les arbres sont tous nus. L'automne est mort et l'hiver s'amuse à les déshabiller. Même si le thermomètre à récupéré quelques degrés il fait trop froid..  Je cache mes mains dans mes manches, je cligne des yeux et pleure.. comme une heure auparavant.. avec les oignons ! Enfin arrivée. Gros câlins, baby-foot (j'ai perdu), télé, tellement mignon toutes ces petites bouilles émerveillées devant les images qui s'animent sur l'écran... Sourires, bisous, billard, jeux de gamins, guitares, bonbons, je lui ai ébouriffé les cheveux... J'aime tant ces moments.. mais.. C'est l'heure ! Je souffle de la fumée, le soleil se couche je rentre chez moi. Je compte mes pas. Je marche les mains dans les poches serrant tout ce qui s'y trouve, épingles à linge, mouchoires, carte de car, papiers de bonbons.. qui font du bruit quand je les froissent... Je lève les yeux, je souris comme chaque fois, habitude, réflexe.. Maintenant il fait chaud, trop chaud. A table ! Oeuf sur le plat, déja ça fait moins réver.. Plat du dimanche.. J'aime pas vraiment. Fini ! Je pars fouiller dans la grande armoire en bois, je prend quelques chocolats et m'engouffre dans ma chambre pour les manger secretement, ça c'est bon ! C'est des pyréneens comme ceux du dernier jour.. Encore EUX... Tralala. Deux lucioles dans le "vide poche" je crois bien qu'il faut qu'elle m'en offre d'autres...

Ma chambre avais bien besoins d'être nettoyer de fond en combles.. Mais je ne l'ai pas fait.. Tant pis pour elle ! Je restais cloitré chez moi, répondant à quelques textos, puis un monsieur me propose soudainement de bouger à la mj comme ils disent. 17h la nuit tombe bientot et il fait froid dehors.. J'ai des gants trop petits pour moi, une écharpe " d'été ", pas de bonnet je peux pas partir en expédition comme ça! Je vais attraper un gros ruhme! Donc ça m'énerve une fois de plus on ne va pas se voir, mais je me dis tant pis, ça sera pour une autre fois.. 17h10. Trois TOC. Puis une voix m'apelle y'a quelqun pour toi ! Et là qui je vois, ce grand monsieur qui était venu rien que pour moi, dans le froid ( mais lui il avait un blouson de cuir donc n'avait pas froid ! )  Tellement de fois où l'on s'était loupé, lui était tout fière sur son tracteur, moi croyant que s'était quelqu'un d'autre, un autre jour il devait passer me voir je finissais trop tard.. Enfin je le voyais! Ptit délires, pleins de mimiques, des calins, encore et toujours ces sourires... Puis histoire de toujours mettre en pratique cette phrase : " chieuse un jour, chieuse toujours ! " on est partit déranger deux tourtereaux!! Bonne fin de journée.
Mon popa m'a enfin confirmer pour le nouvel an, il était temps...

Trois mots gribouillés sur ma main au crayon feutre noir : Joyeux noël !!! Jtd !!!! Si peu pour vous... tellement pour moi... 12h30 quelques kilomètres me s'éparent d'elle, puis de moins en moins. Après tout ça va bien ce passé, on parlera et tout s'arengera... Je disais ça pour me rassurer mais pensais totallement le contraire... J'avais peur d'une jeune fille si adorable.. Un bonjour et des paroles plutot froides, non que dis-je GLACIALES ! Petit à petit les cadeaux, muse, mamie, les potes, le lycée, sont devenus nos sujets de conversation certes banales, mais obliger de passer par eux avant de pouvoir regagner un peu de sa confiance. Puis on s'est remémorée nos conneries, un sourire plutot timide mais si sincère s'est dessiné sur ses lèvres. Un jeu, des photos et le retour de cette complicité qui m'avait tant manquée. Je lui ai promis des pates... elle des lucioles... Dur de se quitter tans pis on se revois samedi puis lundi avec des têtes de zombies et mercredi aussi avec tonton serges !   [ tant de temps à rattraper ]